Comment les programmes d’engagement communautaire d’Agnico Eagle renforcent la confiance.

En 2021, Agnico Eagle a créé le Comité consultatif des aînés inuits de Kivalliq, un groupe qui fournit des conseils précieux aux Nunavummiut et à nos équipes d’exploitation du Nunavut.

Composé de 21 aînés des communautés de Baker Lake, Chesterfield Inlet, Rankin Inlet, Whale Cove et Arviat, le comité des aînés tient non seulement les communautés locales informées des activités minières et des plans futurs d’Agnico Eagle, mais il fournit également l’Inuit Qaujimajatuqangit (IQ), un ensemble de connaissances traditionnelles inuites, et les valeurs sociétales inuites (ISV), un ensemble de principes communautaires directeurs, afin qu’ils puissent être intégrés à nos plans d’exploration, de planification, de main-d’œuvre, de bien-être et d’exploitation.

En tant qu’approche visant à renforcer l’engagement et la confiance de la communauté, ce comité des anciens est innovant, collaboratif et unique :

• NovateurLes aînés sont en mesure de fournir des conseils sur des sujets tels que les noms de lieux traditionnels et la façon de communiquer des caractéristiques techniques en langage clair avant qu'Agnico Eagle ne procède à un quelconque processus d'évaluation d'impact. Cela donne une voix puissante aux aînés avant la prise de décision.

• Collaboratifcar les objectifs de la communauté sont à la base de toutes les discussions. Les dirigeants locaux identifient des objectifs à long terme, comme la formation des Inuits et le respect des traditions. En nommant les sites d'exploration en fonction des noms de lieux traditionnels, par exemple, l'objectif de la communauté de maintenir les noms locaux en vie est atteint.

• Uniqueparce qu’il permet aux aînés de se réunir de manière indépendante et de fournir des conseils sur des sujets qu’ils choisissent de mettre en avant, comme les initiatives de bien-être pour les travailleurs inuits sur les sites miniers.

« Nous apprécions les conseils du Comité des aînés sur les aspects clés de notre travail », déclare Suzanne Leclair, conseillère principale en mobilisation des parties prenantes. « Ils nous aident à identifier les lacunes dans les connaissances dès le début de la conception d’un projet minier et à poser des questions aux communautés pour approfondir leur compréhension des impacts et des mesures d’atténuation. Le Comité identifie également des possibilités de formation liées à l’exploitation minière pour les générations autochtones et les jeunes, tout en nous fournissant des conseils sur la manière de mieux assurer le bien-être des peuples autochtones dans nos sites éloignés. »